Ibrahima Benjamin Diagne Émerveille avec ‘Morceau de vers’, un Vibrant ‘Reportage Poétique’
Le talentueux écrivain et journaliste sénégalais, Ibrahima Benjamin Diagne, nous enchante avec la sortie de son dernier recueil de poèmes, baptisé « Morceau de vers ». Dans ce captivant « reportage poétique », l’auteur se dédie à la noble cause de la « reconstruction du monde » à travers des thèmes de solidarité et de paix.
Diagne décrit ce recueil de poèmes comme une forme de poésie-essai, un long reportage poétique qui explore et raconte le monde. Il présente ses vers comme des récits rythmés, une invitation à plonger dans un univers poétique saisissant.
L’ouvrage, publié par les éditions Maîtres du jeu (Sénégal), s’étend sur 52 pages et comporte 29 poèmes, dont trois en wolof, en hommage à l’engagement de Diagne en faveur des langues locales, et les autres en français.
Un Voyage Envoûtant vers l’Espoir
Le recueil est divisé en trois parties. La première, intitulée « Lettres d’été », offre une contemplation de la nature et sa connexion avec les événements du monde. Les poèmes de cette section mettent en lumière des événements poétiques, exprimant les émotions, les sentiments et l’empathie de Diagne envers les êtres animés et inanimés qu’il observe durant l’été. Cette partie reflète un dialogue intime entre l’auteur et la nature.
La deuxième partie, nommée « Chants macabres », est dédiée aux catastrophes naturelles. Diagne laisse parler son cœur ému qui psalmodie face aux tragédies naturelles et à la pandémie de Covid-19, illustrant sa passion pour les lettres.
Dans la dernière partie de l’ouvrage, Diagne nous transporte vers « les cieux de l’espoir ». Il plaide ici en faveur de la « reconstruction » du monde à travers la solidarité, l’humanisme et la paix.
Un Auteur Polyvalent
Ibrahima Benjamin Diagne, déjà auteur de l’essai « La guerre des dieux ou l’ombre d’une profession » (2010), explorant les relations entre les médias, les politiciens et les chefs religieux au Sénégal, annonce la sortie prochaine de plusieurs manuscrits, y compris une pièce de théâtre.
Ancien reporter de Walf FM, il aspire à embrasser « tous les genres littéraires » après avoir consacré près de deux décennies aux médias et à la communication. En 2003, il a mérité le prix du reportage RFI-Reporters sans frontières, décerné lors d’un concours organisé par ces deux organisations médiatiques et l’Organisation internationale de la francophonie (OIF). En 2013, il a été nominé pour le Prix CNN du Journaliste africain pour son reportage poignant sur les « souffrances des voyageurs entre Dakar et Bamako ».
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