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« L’affaire explosive : P. Diddy cible d’une enquête musclée du Homeland, crie à l’injustice »

Le rappeur et producteur américain, P. Diddy, se retrouve au centre d’une tempête médiatique alors que ses propriétés ont été perquisitionnées par le Homeland, le service de sécurité intérieure des États-Unis. Accusé de viols et d’agressions sexuelles par plusieurs plaignants, il dénonce vigoureusement ce qu’il qualifie de « chasse aux sorcières ».

Les images spectaculaires des raids policiers du lundi 25 mars ont fait le tour du monde, montrant des véhicules blindés et des hélicoptères converger vers les luxueuses résidences du célèbre artiste à Los Angeles et Miami. Mais derrière cette opération musclée se cachent des allégations graves : quatre personnes accusent officiellement P. Diddy d’abus sexuels, de violences physiques, et même de « revenge porn ».

Son avocat, Maître Aaron Dyer, dénonce une répression excessive, qualifiant les descentes de police de « surutilisation flagrante de la force militaire ». Malgré les images choquantes montrant certains membres de sa famille menottés, aucun d’entre eux n’a été formellement arrêté. Pourtant, l’avocat souligne que cette « embuscade sans précédent » s’apparente à une campagne médiatique coordonnée, alimentant une « chasse aux sorcières » basée sur des accusations qu’il considère comme infondées.

Si les détails de l’enquête en cours restent flous, les médias américains évoquent des soupçons de trafic sexuel pesant sur P. Diddy. Ces accusations trouvent leur origine dans une plainte initiale déposée par son ex-compagne, la chanteuse Cassie, suivie par quatre autres personnes. Pourtant, l’avocat martèle que ces allégations n’ont pas conduit à une responsabilité pénale ou civile, affirmant l’innocence de son client qui, dit-il, continuera à se battre pour laver son nom de tout soupçon.

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