« Sauvons l’Innocence : Fermons les Portes de l’Enfer pour nos Enfants »
À l’occasion de la Journée mondiale de l’enfance célébrée le 20 novembre 2023, une réflexion s’impose sur la tendance inquiétante qui pèse sur nos enfants, exposés aux dérives violentes du monde. Si la souffrance fait partie intégrante de la vie humaine, il est impératif de distinguer la souffrance naturelle de celle infligée par les adultes sur les plus vulnérables. Les conséquences de cette violence gratuite se répercutent sur la société, accentuant la détresse globale.
L’histoire de l’humanité semble révéler une propension à la souffrance, manifestée à travers les guerres, l’esclavage, la colonisation, et d’autres formes d’injustices. Cependant, il est essentiel de protéger les enfants de cette violence délibérée, car ils sont les portes ouvertes sur un paradis perdu, porteurs d’innocence et de lumière capables d’éclairer même les coins les plus sombres de notre monde tourmenté.
Malheureusement, dans de nombreuses régions, les enfants manquent de protection et souffrent physiquement et moralement. Le manque d’espaces dédiés à leur épanouissement contribue à leur ennui et à une croissance marquée par la frustration. Face à cette réalité, il devient crucial de prendre des mesures concrètes pour assurer la sécurité et le bien-être des enfants.
L’article souligne également les défis spécifiques rencontrés par les enfants dans certaines régions, où la protection infantile est insuffisante, exposant les jeunes à des dangers tels que les accidents domestiques, les abus, et la négligence. Le constat amer est que la société elle-même contribue à ces maux, ignorant que faire souffrir les enfants, c’est accroître la souffrance du monde.
L’auteur exprime des craintes quant à la dégradation des valeurs fondamentales au sein de la société, attribuant cette tendance à une imitation aveugle des modèles occidentaux. La course effrénée vers le confort matériel personnel, au détriment des valeurs traditionnelles, menace l’équilibre fragile entre l’humanité et la nature.
Malgré ces sombres constats, l’auteur reste optimiste en soulignant la richesse en nourritures spirituelles et morales dont dispose encore l’humanité. La refondation de l’homme et la préservation des valeurs essentielles sont présentées comme des solutions nécessaires pour contrer la dérive actuelle.
En conclusion, l’article appelle à une action collective, non seulement à travers le renforcement de la sécurité et la sévérité envers les coupables, mais surtout par une transformation profonde des mentalités, inspirée par les valeurs ancestrales. Il s’agit de fermer les portes de l’enfer et de préserver l’innocence qui demeure le trésor le plus précieux de notre humanité.